31/01/2011

"regardez moi dans les yeux, dans les yeux j'ai dis"

On ne dirait pas comme ça mais, selon d'éminents scientifiques, le soleil est plus proche de la terre en hiver qu'en été, et est par conséquent plus dangereux pour les yeux durant cette période (surtout pour ceux qui font du ski)... BREF c'est pas un scoop on dit "merci professeur Philipot" de nous avoir trouvé un prétexte pour se la péter en hiver, cacher les yeux qui coulent et détourner l'attention du nez rouge à cause du froid, et on sort les méchantes lunettes de soleil qui envoient la pâté.

On commence soft par Lunettes France pour les discrets de la lunette :



 Pour les plus pointus nous vous présentons un assortiment de RetroSuperFuture à porter sans modération :





Il est également possible de John Lennon-iser son minois avec cette parure Asos :
 
Si t'es un dingue dans ta tête, tu fais péter les Coco && Breezy "trop morteeeelles quoiiii han" :




Après il est aussi possible de péter un cable et de sortir avec ça (faut être motivé quand même) :

Et si "naaan décidément c'est pas assez fuuun pour moi", il reste la version lunettes 3D je-vois-que-dalle-mais-jm'en-fous :
 ...à assortir avec la robe.

Amen.

29/01/2011

Craquage du jour

Quand deux stars se rencontrent...

Hin hin...

18/01/2011

THE SHOES.......


GREEN ROOM SESSION/ THE SHOES/ UBU/ 29 SEPTEMBRE 2010


Bonne idée de la part de La Green Room de se poser à L'UBU pour une session qui programme mes chouchous français de THE SHOES, autant dire que l'article ne sera pas, mais alors absolument pas objectif mais je m'en contrefous, tout le monde le sait, THE SHOES, ça envoie le bois et c'est tout le temps au top.
A l'origine, pourtant, j'étais sceptique. En effet The Shoes avant toute chose c'est THE FILM.... mais si souvenez vous, une pub, une 407, des jouets, « Can you touch me? Hein hein hein hein », ça vous revient j'espère car l'album sortit en 2005 est une véritable pépite. Ça sonnait crasseux, poisseux, comme un vieux vinyle où un Bowie des années 70 aurait posé sa voix. Y'avait une basse omniprésente très sombre, des guitares funky, des boucles de saxo, une ambiance blues électronique, un côté crooner déchu, une pointe de rockabilly dans la prod. Bref un bordel totalement jouissif sortit de nul part. 

Et puis stupeur, THE FILM c'est fini, terminé, kaput. Pourquoi donc? Pour monter un projet qui semblait plus électro. Alors là, c'est légitime, je flippe, on se demande si les deux bonhommes ne cèdent pas un peu aux sirènes de la hype en vendant leur guitare pour s'acheter des platines. Que NENI! The Shoes à prouvé avec classe qu'il fallait compter sur eux et les ériger comme les nouveaux chef de file de la pop à la française. Oui, j'ai bien dit pop, car malgré leur enrobage électro, les compositions du groupe rémois ont une ossature pop bien identifiable. Au fil des ans, ils ont sortis singles, EP et remixs absolument enchanteurs et éclectiques: des « let's go » et « america » tapageurs, des « bored » intense (repris dans Gossip Girl d'ailleurs), des « people moovin » addictifs et lumineux, des « hold me down » parfaitement remixés et pour finir leur dernier EP « stay the same » en feeturing avec Esser qui confirme tout le bien que l'on pense d'eux. The Shoes ce sont les superhéros à la française, qui transforment tous les morceaux qu'ils composent en joyaux de le reine.

A leur départ, ils jouaient des dj sets incluant leurs propres morceaux mais au fur et à mesure que la pop s'immisçait dans leur composition, l'envie de construire un live avec de véritables instruments (comme à l'époque de THE FILM) s'est naturellement imposé. Il me semble que l'un de leur premier live avec batterie était sur la scène des Transmusicales en 2008. Il est maintenant parfaitement rôdé et diablement efficace. Guillaume et Benjamin possèdent un charisme hors pair et musclent leurs morceaux de la meilleure des façons sur scène afin de combler les spectateurs de l'UBU. The Shoes livre une très bonne prestation avant de laisser place aux Parisiens I AM UN CHIEN dont l'énergie, la puissance et le bruit nous laissent de marbre, cet electro punk sans grande subtilité ne nous convainc guère. Le bar nous semble plus accueillant, avant de s'infiltrer discrètement dans les backstages de l'UBU, dans le dos de Mr Brossard (BIG UP) avec l'aide de José, chanteur de STUCK IN THE SOUND, et également frère de l'un des membres d' I AM UN CHIEN. (petit scoop qu'il me confie , il prépare un album avec DJ pone pour l'année prochaine). Guillaume et Benjamin sont bien là, Thomas du groupe ALB, et Brossard également qui s'active pour servir le champagne visiblement ravis de leur prestation. Ils semblent crevés mais excités car leur EP « stay the same » est sur le point de sortir. Ils affirment également qu'un album est prévu pour le début de l'année 2011 (février ou mars) et acceptent de nous accorder une interview pour son lancement. Nous attendons donc mars de pied ferme pour rencontrer les sauveur de la french pop. THE FILM EST MORT VIVE THE SHOES. 

 

WE ARE ENFANT TERRIBLE......


INSIDE THE PLAY 2/ WE ARE ENFANT TERRIBLE/ANTIPODE/16 OCTOBRE 2010

  
Rennes. Le rendez vous est pris à 22h30 dans l'arcade room installée pour l'occasion dans l'une des salles de l'Antipode. Tandis que le public débarque progressivement déguisé en Mario, Sailor Moon et autres combinaisons fluo, Clotilde, l'ultra charismatique chanteuse des We are enfant terrible arrive, blackberry en main. 
Ce soir outre ces enfants terribles que l'on ne présente plus, les Suédois les plus déjantés de la planète Slagmasklubben ainsi que l'exilé des Dat politics Marklions se partagent l'affiche. Beau programme pour cette soirée placée sous le son de la 8bit et des synthés old school. C'est d'ailleurs devant une borne d'arcade que Clotilde me présente Cyril ,son génial batteur hyperactif, en train d'exploser les scores sur une sorte de street fighter killa. Thomas le guitariste dort dans le van. L'hibernation est apparemment l'une de ses grandes spécialités. Avec beaucoup d'humour et d'humilité ils parlent de la tornade dans laquelle ils tourbillonnent depuis leur premier concert, il y a seulement deux ans quasiment jour pour jour. Encensés par les blogs, ils enchainent les premières parties de Peaches, des Ting Tings, tournent aux États-Unis, en Chine, au Canada, jouent dans les villes et clubs les plus hype d'Europe. 
Leur fulgurante ascension les amène à sortir leur premier album en Mars prochain (semble-t-il). Ce dernier en phase finale de mixage continuera sans aucun doute à agiter la buzzosphère. Thomas se réveille une demi heure avant le concert, (presque) aussi frais qu'une rose. Le temps de boire une bière bretonne plus que douteuse, préparer la set-list, et écouter les blagues vaseuses de Cyril, les lillois débarquent sur scène et dévastent l'antipode à coups de singles ravageurs tels que « Snapdragon », « Wild Child » ou encore « Seagul » pour ne citer qu'eux. Clotilde dégage une énergie live outrageusement sexy, le batteur fou ne sait plus très bien s'il doit jouer assis ou debout, et Thomas semble plongé dans une transe chamanique avec sa guitare et ses synthés. P****N, ça fait du bien! Ça joue vite et fort et ô magie, ça reste calé.
Le concert fut brutalement interrompu du fait d'un tragique accident. Michael-Angelo des tortues ninjas aurait involontairement tranché le bras de Charly ( de « où est Charly », voyons...!) en shakant son booty une pinte à la main sur les élucubrations torrides de Clotilde. Ces enfants terribles 2.0 ont toutes les chances de devenir les champions de 2011.



Les imprimés funky

"ALORS MOI PERSONNELLEMENT JE PENSE QUE" quand je vois des imprimés j'ai envie de crier "WEST COAST MOTHA FUCKA", de me rouler par terre et de glousser niaisement. Oui ça fait "un effet boeuf" les imprimés, et s'ils sont psychédéliquement funs c'est better. C'est comme un feu d'artifice dans le cerveau, un court-circuit, un début de folie, un bad trip, un pétage de plomb ou Dobermann de Jan Kounen ; on régresse à 5 ans on a envie de dessiner sur les murs, de s'appeler Tony Montana et de s'enfouir le nez dans une montagne de poudre sucrée qui pétille dans la bouche (...). "Y'a trop de gens dans ma tête", dirait Jean Nath'.

 Anna Jazevischt
 Asos
 Basso & Brooke
 Basso & Brooke
 Beyond the valley
 Beyond the valley

 Gemma Slack
 Mother of pearl
 Style bubble
 The face hunter
 Tory Burch
Style Bubble

14/01/2011

Focus : Little Shilpa

Attention, derrière le nom un peu "kawaï" de la marque se cache une redoutable prédatrice mode ! Little Shilpa, alias Shilpa Chavan, est une créatrice indienne que tous les amateurs du "futur romantique" devraient bientôt adorer, si ce n'est pas déjà le cas. Ses créations loufoques et démesurées font déjà des émules dans le mode de la fashion et Lady Gaga, fine flaireuse de tendances, a bien sûr sauté sur les créations de notre petite indienne en arborant fièrement un "headgear" (ou "couvre chef" pour les non anglophones) sur la couverture du FLARE canadien.

Little Shilpa dit tenir son incroyable potentiel créatif et son imagination débordante des bibelots archaïques et des bazars de Mumbaï dont elle propose un "renouveau du genre". Elle tend à se concentrer sur un seul objet, à commencer par quelque chose de très ordinaire ou humble que ce soit un vieux badge militaire, un bracelet en caoutchouc ou tout autre accessoire porté au quotidien par les Indiens : "Il s'agit de rechercher des formes et des objets différemment. Quand je trouve une forme, qu'il s'agisse d'un chausson en caoutchouc ou un cerf-volant, la première chose que je pense est de savoir comment il pourrait être porté sur la tête. Ensuite, je pense à la baisse dans les accessoires comme les bijoux et autres insignes, ceintures ... mais il commence vraiment avec la forme. ". Tout est dit.












 
Ci-dessous son interview par le London Fashion Week :


Nom : Shilpa Chavan


Origine : Inde


Le point fort de votre carrière : “Colin McDowell a écrit sur mon travail après avoir vu mon défilé au Lakme Fashion Week en Inde.”


Parcours : Apprentissage avec Philip Treacy. "J'ai étudié en Inde et aux cours d'été de la Central Saint Martins."


Signatures design : "Artisanat, pièces d'exception."


Comment définiriez-vous votre client idéal ? “Quelqu'un avec de la méthode dans sa folie.”


Nommez trois choses qui vous inspirent pour votre collection Printemps/Été 2011 : “l'utopie, l'aérien, et Klee Angelus.”


Quelle philosophie appliquez vous à votre marque ? “Faire son possible pour créer tout ce qu'il est possible d'imaginer.”


Comment voyez vous les changements à terme et le développement de la marque ? “En plus de la mode, j'envisage cette dernière comme évoluant vers l'art. J'aimerai voir Little Shilpa créer un culte mode/art.”


Quelle est la nouveauté pour vous cette saison ? “Faire une analyse de la transition des images de fixes à en mouvement*."






*cf. le génial article de Coline sur MadmoiZelle : http://www.madmoizelle.com/gif-animes-mode-28944




12/01/2011

"Mon précieux"

Aujourd'hui mesdames et messieurs, abordons...(roulement de tambour)... mon sujet de prédilection, mon Saint Graal, j'ai nommé : les CHAUSSURES ! Et because "ladies first" je commence par les les modèles femme les plus beaux/déjantés/bizarres (c'est selon). Mais rassurez vous messieurs ce n'est que partie remise, vous serez les prochains ! C'est parti, hauts les coeurs.



 Acme
 All Saints
 Anniel (Ref. Le blog de Betty)
 Dsquared
 Ref. The Face Hunter
 Finsk
 Finsk
 Ref. The face hunter
 Lucia
 Nicolas Kirkwood
 Nicolas Kirkwook
 Rodarte
(un créateur chinois dont j'ai oublié le nom. Ref. Style Bubble)